Système d'Information Géographique (SIG) :

Un SIG est un système informatique conçu pour stocker, analyser, manipuler et visualiser des données géographiques et spatiales. Ces données peuvent inclure des informations sur les sols, le relief, la végétation, les précipitations, l'utilisation des terres, etc. Les SIG permettent aux utilisateurs de comprendre les relations spatiales entre différentes variables, ce qui est crucial dans le domaine de l'agronomie.

Les SIG offrent plusieurs fonctionnalités importantes pour les agronomes :

  1. Analyse spatiale : Les agronomes peuvent utiliser les outils d'analyse spatiale des SIG pour étudier la répartition des cultures, des maladies des plantes, des rendements agricoles, etc. Ils peuvent également identifier les zones à haut risque ou à fort potentiel pour prendre des décisions éclairées en matière de gestion des terres et de planification des cultures.

  2. Cartographie thématique : Les SIG permettent de créer des cartes thématiques représentant divers aspects de l'agriculture, tels que la répartition des cultures, les niveaux de fertilité des sols, les ressources en eau, etc. Ces cartes aident les agronomes à visualiser et à communiquer les informations spatiales de manière efficace.

  3. Modélisation : Les SIG peuvent être utilisés pour développer des modèles spatiaux qui simulent les processus agronomiques, tels que la croissance des cultures, la propagation des maladies ou l'érosion des sols. Ces modèles aident les agronomes à prévoir les résultats et à planifier les interventions agricoles.

  4. Prise de décision : En intégrant des données géographiques et spatiales avec d'autres données agronomiques, les SIG aident les agronomes à prendre des décisions éclairées sur la gestion des terres, l'optimisation des rendements, la conservation des ressources naturelles, etc.

Cartographie :

La cartographie est l'art et la science de représenter graphiquement des informations spatiales sur une carte. Les cartes sont des outils visuels puissants qui permettent aux agronomes de comprendre rapidement les schémas spatiaux et les relations entre différentes variables agronomiques.

L'importance de la cartographie pour les agronomes comprend :

  1. Visualisation des données : Les cartes permettent aux agronomes de visualiser les données géographiques et spatiales, ce qui facilite la détection de tendances, de schémas et de relations qui pourraient ne pas être évidents dans des tableaux de données ou des rapports textuels.

  2. Communication : Les cartes sont des outils efficaces pour communiquer des informations spatiales complexes à d'autres parties prenantes, telles que les agriculteurs, les décideurs politiques, les chercheurs, etc. Elles simplifient la présentation des résultats de recherche et des recommandations en matière de gestion agricole.

  3. Planification et gestion : Les cartes sont utilisées dans la planification et la gestion des terres agricoles, y compris la planification des cultures, la conception des systèmes d'irrigation, la gestion des ressources en eau, la conservation des sols, etc.


Objectifs de l’enseignement :

Analyser les objectifs de la communication interne et externe et  présenter les méthodologies nécessaires pour conduire les principales actions de communication

 

Connaissances préalables recommandées

Les bases linguistiques

 

Compétences visées : Capacité de bien communiquer oralement et par écrit 

- Capacité de bien présenter et de bien s’exprimer en public

- Capacité d’écoute et d’échange

- Capacité d’utiliser les documents professionnels de communication interne et externe

- Capacité de rédiger des documents professionnels de communication interne et externe

 

Contenu de la matière :

o   Renforcement des compétences linguistiques

o   Les méthodes de la Communication

o   Communication interne et externe

o   Techniques de réunion

o   Comsmunication orale et écrite


Introduction
1. Généralités
1.1.Aspects botaniques du Palmier dattier
1.2.Aire géographique du Palmier dattier
1.3. Les ressources tirées du Palmier dattier
2. Les besoins du Palmier dattier
2.1.Nécessités climatiques
2.2. Nécessités en eau
2.3.Nécessités agrologiques
2.4.Analyses chimiques du Palmier dattier
2.5.Nécessités nutritives du Palmier dattier
3. Phoeniciculture Algérienne
3.1.Types de phoeniciculture
3.2.Préparation du terrain pour l‘installation d'une palmeraie
3.3.Plantation du Palmier dattier
3.4.Entretien de la plantation
3.5.Maladies et parasites
3.5.1. Parasites végétaux
3.5.2. Parasites animaux
3.5.3. Maladies non parasitaires
4. Production des dattes
4.1.Fécondation du Palmier dattier
4.2.Limitation des régimes
4.3.Eclaircissage des régimes
4.4.Inclinaison des hampes fruitières
4.5.Récolte des dattes
5. Conditionnement et conservation des dattes
5.1.Triage
5.2.Mûrissage artificiel des dattes DEGLET NOUR
5.3.Stockage des dattes
5.4.Traitement de la datte
5.5.Utilisations de la datte


Au plan mondial et selon les statistiques, l’Algérie se classe en 4ème position en terme de production de
dattes, derrière l’Egypte, l’Iran et l’Arabie Saoudite. Selon les statistiques de l’année 2015 du Ministère
de l’Agriculture et du Développement Rural, le palmier dattier occupe en Algérie une superficie
évaluée à 167.000 hectares pour un nombre de palmiers estimé à plus de 18,6 millions d’unités et une
production de dattes, toutes variétés confondues, de près de 990.000 tonnes (Belaroussi, 2019).

Cette matière vise à donner les connaissances nécessaires portant d’un coté sur les
conditions de création d’un verger fruitier et d’un autre coté sur l’amélioration de la
productivité des arbres fruitiers en respectant les exigences majeures des organismes internationales. Le respect des normes de production agricoles est très important pour protéger la santé publique des Algériens d’une part et pour faciliter la commercialisation des productions agricole d’une autre part.

le droit international de l'environnement au xxe siècle, comprenant aujourd’hui plus de 300 conventions ou traités multilatéraux sans compter les accords bilatéraux.

  1. 2 décembre 1946 : Convention internationale pour la régulation de la chasse à la baleine et aux grands cétacés et création de la Commission baleinière internationale
  2. 1951 : Convention internationale pour la protection des végétaux
  3. 1er décembre 1959 : Traité sur l'Antarctique
  4. 1961  Convention sur la diversité biologique 

5.    1971 : Programme Man and Biosphere : lancement du programme MAB par l'UNESCO, donnant lieu à la création de Réserves de biosphère (1976) : coordination mondiale d'aires protégées (parcs, réserves…).

6.      2-3 février 1971 : Convention de Ramsar (RamsarIran) relative aux zones humides d'importance internationale particulièrement comme habitats de la sauvagine : dans le cadre du programme MAB (Man And Biosphere) de l'UNESCO (United Nations for Education, Science and Culture Organization) ; entrée en vigueur en 1975 ; 61 États, 800 sites soit 500 000 km2 ;


Le droit de l'environnement concerne l'étude ou l'élaboration de règles juridiques visant la compréhension, la protection, l'utilisation, la gestion ou la restauration de l'environnement contre  les perturbations écologiques sous toutes ses formes - terrestres, aquatiques et marines, naturelles et culturelles, voire non-terrestres (droit spatial).

I-                  Les principes du droit de l’environnement  

1.      le principe de prévention,

Le principe de prévention a pour objet de prévenir les atteintes susceptibles d’être portées à l’environnement ou, à défaut, d’en corriger les conséquences. La Charte de l’environnement énonce que « toute personne doit, dans les conditions définies par la loi, prévenir les atteintes qu’elle est susceptible de porter à l’environnement ou, à défaut, en limiter les conséquences ».

Exemple : tout producteur ou détenteur de déchets est responsable de la gestion de ces déchets jusqu’à leur élimination ou valorisation finale, même lorsque le déchet est transféré à un prestataire. Il s’assure que le prestataire à qui il les remet est autorisé à les prendre en charge.


Le droit de l'environnement concerne l'étude ou l'élaboration de règles juridiques visant la compréhension, la protection, l'utilisation, la gestion ou la restauration de l'environnement contre  les perturbations écologiques sous toutes ses formes - terrestres, aquatiques et marines, naturelles et culturelles, voire non-terrestres (droit spatial).

I-                  Les principes du droit de l’environnement  

1.      le principe de prévention,

Le principe de prévention a pour objet de prévenir les atteintes susceptibles d’être portées à l’environnement ou, à défaut, d’en corriger les conséquences. La Charte de l’environnement énonce que « toute personne doit, dans les conditions définies par la loi, prévenir les atteintes qu’elle est susceptible de porter à l’environnement ou, à défaut, en limiter les conséquences ».

Exemple : tout producteur ou détenteur de déchets est responsable de la gestion de ces déchets jusqu’à leur élimination ou valorisation finale, même lorsque le déchet est transféré à un prestataire. Il s’assure que le prestataire à qui il les remet est autorisé à les prendre en charge.